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Isabelle Carré à l'affiche d'une comédie sur l'adoption et les migrants

Isabelle Carré est à l'affiche du film "Comment j'ai rencontré mon père", une histoire d'adoption et de migrant, aux côtés de François-Xavier Demaison. Rencontre avec cette comédienne discrète à l'éternel physique d'adolescente, et qui a pourtant 25 ans de cinéma derrière elle.

Anne Elizabeth Philibert

France Télévisions - Rédaction Culture

Publié le 03/06/2017 18:29

Temps de lecture : 2min

Isabelle Carré dans "Comment j'ai rencontré mon père" (France Télévisions/culturebox)

Isabelle Carré joue dans le film "Comment j'ai rencontré mon père", le tout premier long métrage réalisé par Maxime Motte aux côtés de François-Xavier Demaison. Les deux acteurs se sont déjà donné la réplique dans "Tellement proches" d'Olivier Nakache. Cette nouvelle comédie, sur les écrans le 7 juin, raconte l'histoire d'un couple, parents adoptifs d'un enfant africain et l'arrivée dans leur vie d'un migrant. Des thèmes qu'Isabelle Carré est ravie de retrouver. La comédienne raconte les coulisses du tournage et surtout le plaisir qu'elle a eu de jouer avec le petit garçon du film, Owen Kanga.

Rencontre avec Isabelle Carré

Synopsis : Enguerrand, un petit garçon d'origine africaine, a été adopté par Eliott et Ava. Avec maladresse mais amour, ces derniers assument tant bien que mal leur statut de parents. De son côté, Enguerrand ne cesse de demander à voir son père biologique. il ignore qu'il est décédé. Quand il croise le chemin de Kwabena, un migrant, il pense avoir retrouvé son papa. Il décide donc de l'héberger dans sa chambre. La présence de l'invité-surprise va permettre à ses parents adoptifs de se remettre en question.

L'adoption, les réfugiés, les migrants sont autant de thèmes chers à Isabelle Carré. L'actrice, maman dans la vie de trois enfants, a interprété en 2003 le rôle de Géraldine dans "Holy Lola" le film de Bertrand Tavernier. Un long métrage plus dramatique racontant le voyage initiatique d'un couple au Cambodge à la recherche d'un enfant à adopter. Deux ans plus tard, en 2005, elle va à la rencontre des réfugiés de Calais pour le téléfilm de Jean-Pierre Améris, Maman est folle.