Nicolas Dupont-Aignan blâme "l'argent sale" de la Chine et son aide à la zone euro
Invité de "12/13 dimanche" sur France 3, Nicolas Dupont-Aignan, candidat de Debout-La-République (DLR) à la présidentielle, a fustigé "l’argent sale" de la Chine, en jeu dans l’aide que le pays doit apporter à la zone euro.
Invité de "12/13 dimanche" sur France 3, Nicolas Dupont-Aignan, candidat de Debout-La-République (DLR) à la présidentielle, a fustigé "l'argent sale" de la Chine, en jeu dans l'aide que le pays doit apporter à la zone euro.
Nicolas Dupont-Aignan, candidat de Debout-La-République (DLR) à la présidentielle, a fustigé dimanche la demande d'aide de la zone euro à la Chine, estimant que c'était de "l'argent sale".
Invité de "12/13 dimanche" sur France 3, M. Dupont-Aignan a fait valoir que la Chine "trichait avec toutes les règles du jeu : esclavage social, pollution environnementale, copie, déficits avec la France, l'Allemagne, UE et les Etats-Unis colossaux liés à une tricherie...".
"Elle vient maintenant après avoir triché, nous dire ‘et bien nous allons vous racheter'", s'est emporté le candidat pour qui "nos dirigeants sont coupables de haute trahison".
Il a jugé "extravagant" que le président Nicolas Sarkozy ait dit en substance jeudi soir à la télévision : "la Chine a de l'argent et bien moi je prends l'argent".
"Ca veut dire que quand il y a de l'argent sale on le prend", a-t-il dit expliquant que cet argent était "pris sur le nivellement écologique, social par le bas". C'est "de l'argent qui ne développe pas la Chine, qui exploite son peuple. C'est une dictature communiste".
Nicolas Dupont-Aignan sur itélé le 31 octobre 2011
"Il faut résister"
M. Dupont-Aignan a accusé l'ancien Premier ministre UMP Jean-Pierre Raffarin de s'être livré à un "exercice de collaboration" avec la Chine, pour avoir plaidé la cause de Pékin dans une interview au Journal du Dimanche.
"Une fois que la Chine aura mis l'argent, est-ce que vous croyez que nous pourrons mettre en place un protectionnisme minimum pour défendre nos industries, nos emplois, nos ouvriers ?", a-t-il demandé.
Pour lui, "il faut résister, ne pas se coucher devant la Chine", ce qui ne signifie "pas qu'il ne faut pas nouer des partenariats" avec ce pays.
À regarder
-
Vagues, rafales : la tempête Benjamin a battu des records
-
Tempête Benjamin : sauvetage en pleine mer
-
Nouvelle-Calédonie : 50 détenus attaquent l'État en justice
-
Cancer : grains de beauté sous surveillance grâce à l'IA
-
La langue des signes est-elle en train de mourir ?
-
Un malade de Parkinson retrouve l'usage de ses jambes
-
Ils crient tous ensemble (et c'est ok)
-
Obligée de payer une pension à sa mère maltraitante
-
Maison Blanche : Donald Trump s'offre une salle de bal
-
Musée du Louvre : de nouvelles images du cambriolage
-
Traverser ou scroller, il faut choisir
-
Manuel Valls ne veut pas vivre avec des regrets
-
Nicolas Sarkozy : protégé par des policiers en prison
-
Piétons zombies : les dangers du téléphone
-
Tempête "Benjamin" : des annulations de trains en cascade
-
Femme séquestrée : enfermée 5 ans dans un garage
-
Vaccin anti-Covid et cancer, le retour des antivax
-
A 14 ans, il a créé son propre pays
-
Ils piratent Pronote et finissent en prison
-
Aéroports régionaux : argent public pour jets privés
-
Bali : des inondations liées au surtourisme
-
Cambriolage au Louvre : une nacelle au cœur de l'enquête
-
Alpinisme : exploit français dans l'Himalaya
-
Un objet percute un Boeing 737 et blesse un pilote
-
Cambriolage au Louvre : où en est l'enquête ?
-
Jean-Yves Le Drian défend l'image de la France
-
Chine : 16 000 drones dans le ciel, un nouveau record du monde
-
Donald Trump lance de (très) grands travaux à la Maison Blanche
-
Glissement de terrain : des appartements envahis par la boue
-
Emmanuel Macron sème la confusion sur la réforme des retraites
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter