Axel Duroux quitte TF1
TF1 et son DG Axel Duroux "ont décidé de se séparer d'un commun accord pour divergences de vue stratégiques" vendredi
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TF1 et son DG Axel Duroux "ont décidé de se séparer d'un commun accord pour divergences de vue stratégiques" vendrediTF1 et son DG Axel Duroux "ont décidé de se séparer d'un commun accord pour divergences de vue stratégiques" vendredi
Des rumeurs couraient sur sa mésentente avec le PDG du groupe Nonce Paolini qu'il devait seconder.
Axel Duroux, qui présidait depuis 2005 le directoire du groupe RTL, a été appelé en juin par TF1 pour tenter d'enrayer la baisse d'audience de la chaîne qui accusait un repli de ses recettes publiciaires. Il avait pris ses fonctions le 15 septembre.
Mi-septembre, Nonce Paolini avait affirmé que son groupe était "à la relance dans tous les domaines", dans un entretien au Journal du Dimanche. Il y affirmait notamment que "les audiences de TF1 tenaient "remarquablement", que le 20 heures s'était "stabilisé à haut niveau". Il affirmait également que la baisse des rentrées publicitaires était "endiguée" et que les programmes "séduisaient les annonceurs".
Le Figaro a rappporté vendredi qu'Axel Duroux était sur le départ, car il avait "tenté de prendre la main sur tous les sujets" mais s'était heurté au PDG, Nonce Paolini, qui lui avait à chaque fois "rappelé qu'il était le décideur en dernier ressort".
Axel Duroux a notamment dirigé Endemol France, créé la radio RTL2 et présidé le directoire du pôle français de RTL dont il a été l'artisan du redressement.
Réaction de la SDJ
La société des journalistes de TF1, qui rassemble 90% des journalistes de la rédaction (210 journalistes environ), a "regretté" le départ du directeur général, Axel Duroux, qui avait suscité un "espoir" dans la rédaction en se portant "garant de son indépendance". Elle estime que sa démission "entretient un climat d'instabilité".
"Son passage éclair et ses quatre mois de présence ne sont pas suffisants pour savoir ce qu'il souhaitait réformer au sein de l'entreprise et, plus particulièrement, de l'information. Mais nos contacts avec lui et son abord facile étaient prometteurs", poursuit la SDJ. "Grâce à lui, un dialogue s'était enfin ouvert avec la direction générale", conclut-elle. En juin, avant l'arrivée de M.Duroux, la SDJ de TF1 avait fait part d'un "profond malaise" qui s'était installé entre les journalistes et la direction.
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