Convergence des luttes : "Gilets jaunes, gilets rouges, on était tous citoyen avant de mettre un gilet"
"C'est une première étape, c'est un succès", a réagi samedi sur franceinfo Amar Lagha, secrétaire général de la fédération CGT du commerce, après la manifestation de convergence des luttes organisée samedi 27 avril à Paris.
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"C'est une première étape, c'est un succès. Ca nous a permis de manifester ensemble et qu'on soit tous entendus : gilets jaunes, gilets rouges, gilets roses avec les assistantes maternelles… On était tous citoyen avant de mettre un gilet", a commenté samedi 27 avril sur franceinfo Amar Lagha, secrétaire général de la fédération CGT du commerce, après la manifestation de convergence des luttes organisée samedi 27 avril à Paris, dans le cadre de la 24e journée de mobilisation des "gilets jaunes".
"Dans les territoires et les départements, je pense à Marseille, dans le Nord, à Toulouse, il y a déjà cette convergence territoriale locale. On a essayé de réfléchir avec certains militants et figures des 'gilets jaunes' : est-ce qu'on peut multiplier cela au niveau national ?", a-t-il expliqué.
Chacun de son côté, on ne pourra pas avancer. Le but c'est de se mettre autour d'une table, on réfléchit ensemble (…) Il n'y a pas d'organsiation syndicale majoritaire, on est tous ensemble, au même niveau, pour faire reculer ce gouvernement
Amar Laghaà franceinfo
"On a un président qui a décidé de changer de méthode mais de garder le cap. La méthode ne nous intéresse pas, ce n'est pas ce que demandent les gens. Ils demandent à changer de cap", a-t-il estimé. Selon Amar Lagha, "on subit une boucherie sociale. Aujourd'hui, des milliers d'emplois sont supprimés dans nos secteurs. Où sont les mesures pour les milliers de personnes qui ont occupé les ronds-points ?".
Concernant les prochaines manifestations, il répond : "Il y a le 1er mai et le 9 mai pour la fonction publique. Notre fédération appellera à manifester aux côtés des fonctionnaires. On a besoin de services publics de qualité dans notre pays. Ce que nous a fait le président, c'est une mascarade, une pièce de théâtre. Rien pour les salariés", a-t-il conclu.
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