Nicolas Vanier : "Les accusations dont j'ai été victime sont inacceptables"
Contacté par francetv info, l'explorateur répond aux accusations d'une association, qui déplore l'état de dénutrition de chiens passés par son centre, fermé en juin.
"Ces chiens ne m'appartiennent pas", répond Nicolas Vanier. De retour de voyage, l'explorateur fait face à une polémique sur le sort réservé à des chiens passés par son camp de loisirs à Vassieux-en-Vercors (Drôme) fermé en juin à la suite de nombreux dysfonctionnements. Le camp est désormais "vide de tout chien", annonce la préfecture, mercredi 16 juillet. Certains animaux ont été recueillis par l'Eden Valley Ô secours des Nordiques, basée à Livron-sur-Drôme. Selon cette association, les animaux auraient été victimes de dénutrition.
"On m'a accusé sur les réseaux sociaux d'avoir abandonné mes chiens de traîneau dans un refuge. C'est inacceptable", réagit Nicolas Vanier, contacté par francetv info. "J'aime mes chiens et je repars avec eux l'hiver prochain. Ils sont avec moi, là où je les entraîne habituellement." L'association n'a jamais contesté ce point. Qu'importe, selon l'explorateur. "Des personnes mal intentionnées ont fait courir cette rumeur, alors que le nom de mes chiens est connu, qu'ils sont connus, et que tout ceci est facilement vérifiable."
"Je me porte garant de l'intégrité des propriétaires"
En revanche, des chiens ont bien atterri dans le refuge de l'association, en provenance du camp Nicolas Vanier. Jusque-là, ils appartenaient à des salariés du centre. "Ils sont arrivés en état de dénutrition", accuse l'association, photos à l'appui.
Faux, répond l'explorateur. "On peut faire dire tout et n'importe quoi à des photos. Ces chiens sont des Alaskans croisés entre des lévriers et des chiens de traîneau. Leur aspect morphologique peut être considéré comme un état de dénutrition, surtout en cette période de mue. Mais il n'en est rien." Quant aux salariés qui ont dû confier ces chiens au refuge après la fermeture du camp Nicolas Vanier, "ils l'ont fait dans l'intention d'assurer un avenir à leurs animaux", estime l'explorateur, qui défend l'intégrité des propriétaires. "Je m'en porte garant."
À regarder
-
Décès d'une femme : les ratés du Samu ?
-
Louvre : cambriolages en série
-
Grues effondrées : tornade meurtrière dans le Val d'Oise
-
De nombreux sites paralysés à cause d'une panne d'Amazon
-
Hong Kong : un avion cargo quitte la piste
-
Quand Red Bull fait sa pub dans les amphis
-
Ces agriculteurs américains qui paient au prix fort la politique de Trump
-
ChatGPT, nouveau supermarché ?
-
Eléphants : des safaris de plus en plus risqués
-
Concours de vitesse : à 293 km/h sur le périphérique
-
Églises cambriolées : que deviennent les objets volés ?
-
Quel était le système de sécurité au Louvre ?
-
La Cour des comptes révèle les failles de sécurité du musée du Louvre
-
Cambriolage du Louvre : ces autres musées volés
-
Cambriolage au Louvre : l'émotion et la colère de Stéphane Bern
-
Famille royale : Andrew, le prince déchu
-
Promeneurs, joggeurs : la peur des chiens
-
Vol des bijoux au Louvre : sept minutes pour un casse spectaculaire
-
Au cœur de la traque des migrants
-
Mouvement "No Kings" aux États-Unis : sept millions d'Américains sont descendus dans les rues contre Donald Trump
-
Allocations familiales : vers un coup de rabot ?
-
Un braquage a eu lieu au Louvre dimanche matin à l'ouverture
-
Avions : quand des batteries prennent feu
-
Affaire Epstein : le prince Andrew renonce à son titre royal
-
Grandir à tout prix
-
Cédric Jubillar : 30 ans de prison pour meurtre
-
Mal de dos : comment le soigner
-
Faire des têtes au foot, c'est stylé, mais...
-
En Chine, le plus haut pont du monde est devenu une attraction touristique
-
Quand t’es collé en forêt
Commentaires
Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.
Déjà un compte ? Se connecter