Eurozapping : la vice-première ministre britannique sur la sellette

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 3min
Article rédigé par franceinfo - G. Dehlinger. O. Pergament - Édité par l'agence 6Médias
France Télévisions

Comme chaque soir, le JT du 23h info fait un tour de l'actualité diffusée par les chaînes européennes de télévision. C'est l'Eurozapping du mercredi 3 septembre.

Angela Rayner n’a pas payé toutes les taxes pour un appartement qu’elle a acheté dans une résidence. “Je ne suis pas propriétaire. Je possède un seul bien hypothéqué comme la plupart des gens. Mais d’après les règles émises par le tribunal, je serai redevable d’un droit de taxe supplémentaire”, raconte-t-elle.

Cette erreur aurait pu lui faire économiser plus de 45 000 euros, de quoi indigner l’opposition. “Elle a admis qu'elle n’avait pas payé assez de taxe alors pourquoi est-ce qu’elle est encore en poste ?”, s’interroge Kemi Badenoch, la cheffe du Parti conservateur. Mais le Premier ministre la défend bec et ongles. “Je suis très fier de siéger aux côtés d’une vice-Première ministre qui a construit 1,5 million de logements, apportant la plus grande amélioration des droits des travailleurs depuis une génération”, a affirmé Keir Starmer. Pas question de sacrifier ce pilier du gouvernement travailliste.

En

Espagne, Ryanair réduit la voilure

Un million de places en moins cet hiver. Une mesure de rétorsion face à l'augmentation des tarifs aéroportuaires. De quoi exaspérer les autorités espagnoles. “Nous ne soumettrons pas aux décisions arbitraires d’aucune compagnie”, a assuré Jordi Hereu, le ministre de l’industrie et du tourisme. Ryanair accuse le gouvernement espagnol de politique anti-tourisme. Mais c’est sa décision qui va faire baisser cette activité. “Nous estimons que cela entraînera une perte de 80 millions d’euros”, explique le président de l’association Destination Jerez. Les Canaries sont la première destination impactée, tandis que des aéroports régionaux sont également touchés.

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.