Les opérations de recomptage partiel ont débuté
Les opérations de recomptage partiel après l'élection présidentielle contestée du 20 août ont débuté en Afghanistan
Les opérations de recomptage partiel après l'élection présidentielle contestée du 20 août ont débuté en AfghanistanLes opérations de recomptage partiel après l'élection présidentielle contestée du 20 août ont débuté en Afghanistan
C'est ce qu'a déclaré vendredi la commission des plaintes électorales.
La commission, supervisée par les Nations unies, a décidé de ne recompter qu'un échantillon réduit de bulletins sujets à caution afin d'accélérer le processus. Environ 12% des bureaux de vote, les plus litigieux, sont concernés.
Le processus devrait durer environ deux semaines, ont laissé entendre des responsables.
Selon les résultats préliminaires publiés la semaine dernière, le président sortant Hamid Karzaï a recueilli 54,6% des voix contre 27,8% à son principal rival Abdullah Abdullah mais un second tour n'est pas exclu si de nombreux bulletins sont invalidés.
Les opérations de recomptage vont se concentrer sur les bureaux de vote où un nombre anormalement élevé de bulletins a été enregistré et dans ceux où un candidat a récolté plus de 95% des voix.
La commission électorale a déclaré qu'il y avait des preuves évidentes de fraude.
Abdullah perplexe
Abdullah Abdullah, adversaire d'Hamid Karzaï, a fait part jeudi de ses doutes concernant le processus de recomptage. "On aurait préféré un recomptage (complet)", a déclaré l'ancien ministre des Affaires étrangères.
Abdullah a déclaré que ses représentants rencontreraient cette semaine les responsables de la commission électorale pour obtenir des clarifications sur les techniques d'échantillonnage. "C'est très confus à ce stade", a-t-il insisté.
Abdullah a par ailleurs prévenu que l'Afghanistan risquait de perdre le soutien international dans la lutte contre les taliban si les incertitudes concernant la crédibilité du processus électoral ne sont pas levées.
"La situation actuelle, dans laquelle les Etats-Unis mettent en attente leurs décisions sur l'Afghanistan, n'est pas souhaitable. Cela pourrait conduire à des situations indésirables", a-t-il ajouté.
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