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Royaume-Uni : un homme interpellé après une brève prise d'otages

"Aucun blessé n'a été rapporté à ce stade", selon la police, qui a souligné que l'affaire n'avait "pas de lien avec le terrorisme".

franceinfo avec AFP

France Télévisions

Publié le 09/06/2017 12:53 Mis à jour le 09/06/2017 13:47

Temps de lecture : 1min

Un "homme armé d'un couteau" a été interpellé vendredi après avoir brièvement retenu en otage "plusieurs employés" d'un centre de recherche d'emplois de Newcastle (Royaume-Uni).  (GOOGLE MAPS) — Un "homme armé d'un couteau" a été interpellé vendredi après avoir brièvement retenu en otage "plusieurs employés" d'un centre de recherche d'emplois de Newcastle (Royaume-Uni). (GOOGLE MAPS)

Un "homme armé d'un couteau" a été interpellé vendredi 9 juin après avoir brièvement retenu en otage "plusieurs employés" d'un centre de recherche d'emplois de Newcastle, dans le nord-est de l'Angleterre, a indiqué la police locale.

"L'homme a été arrêté" et écroué, a déclaré sur Twitter la police de Northumbria, qui avait peu avant fait état d'une libération des otages, sans préciser leur nombre.

The man has been arrested by officers and is in police custody. A search of the premises will now take place so the cordon will remain.
— Northumbria Police (@northumbriapol) June 9, 2017

"Pas de lien avec le terrorisme"

La police avait été appelée sur place vers 8 heures (7 heures GMT). Plusieurs employés avaient rapidement pu s'enfuir et les autorités avaient envoyé sur place des négociateurs et des démineurs, craignant que le preneur d'otages ne soit en "possession d'explosifs".

"Aucun blessé n'a été rapporté à ce stade", selon la police, qui a souligné que l'affaire n'avait "pas de lien avec le terrorisme" et que l'individu était "connu du centre de recherche d'emploi".

Cette intervention a lieu dans un climat d'extrême fébrilité, six jours après l'attentat qui a fait huit morts et une cinquantaine de blessés dans le centre de Londres et au lendemain d'élections législatives qui ont vu la Première ministre, Theresa May, perdre sa majorité absolue au Parlement.