Affaire Julien Bayou : Sandrine Rousseau affirme n'avoir "pas disqualifié" l'ancien patron d'EELV
Sur le plateau de l'émission "Quelle Epoque !", la députée écologiste est revenue samedi soir sur l'affaire Julien Bayou, qu'elle a accusé de "violences psychologiques" sur son ex-compagne.
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"Je ne lui ai pas demandé de partir." Sandrine Rousseau est revenue, samedi 8 octobre, sur l'affaire Julien Bayou, qu'elle a accusé mi-septembre de "violences psychologiques" sur son ex-compagne. "Je ne l'ai pas disqualifié", a martelé la députée écologiste sur le plateau de l'émission "Quelle époque !" sur France 2. Après ses accusations, Julien Bayou a démissionné de son poste de secrétaire national d'EELV.
️ @sandrousseau affirme n'avoir "pas disqualifié" Julien Bayou après avoir relayé des accusations de "violences psychologiques" visant l'ancien patron d’EELV sur son ex-compagne pic.twitter.com/ouluw6y1Xc
— Quelle Époque ! (@QuelleEpoqueOff) October 8, 2022
Le 19 septembre, sur le plateau de "C à vous" (France 5), Sandrine Rousseau avait déclaré que Julien Bayou avait eu un comportement "de nature à briser la santé morale des femmes". L'ancien patron des Verts a de son côté nié ces accusations, assurant être "pleinement mobilisé dans la lutte contre les violences faites aux femmes".
"J'ai choisi d'être loyale à la parole des femmes"
"J'ai juste dit que cette femme était en souffrance", a expliqué samedi Sandrine Rousseau. "A qui je dois être loyale ? À mon parti, en tant que structure ? Ou alors, je dois être loyale à la parole des femmes ? J'ai choisi d'être loyale à la parole des femmes et depuis, c'est mon procès non-stop", déclare-t-elle encore.
Le parti écologiste a de son côté rapporté que "la cellule a été saisie au mois de juillet 2022 pour un signalement concernant Julien Bayou" et ajoute qu'elle "travaille à son rythme et avec pour seul souci la recherche de la vérité" et que, "selon l'urgence et la gravité des faits reprochés, elle peut décider de mesures conservatoires". Un "audit de son fonctionnement sera effectué au mois de février 2023, après la décision du conseil fédéral de février 2022".
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