Cinq ans après le confinement, Emmanuel Macron se remémore une période qui "a révélé la force de notre unité"

"La France s'est confinée. Mais jamais elle ne s'est arrêtée. Face à l'inconnu, face à l'épreuve, elle s'est unie", a écrit le chef de l'Etat, dimanche soir sur X.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Le président de la République, Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse à l'issue d'un Conseil européen extraordinaire, le 6 mars 2025 à Bruxelles (Belgique). (LUDOVIC MARIN / AFP)
Le président de la République, Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse à l'issue d'un Conseil européen extraordinaire, le 6 mars 2025 à Bruxelles (Belgique). (LUDOVIC MARIN / AFP)

Des mois qui ont "bouleversé nos vies". Le président de la République, Emmanuel Macron, s'est remémoré dimanche 16 mars le début du confinement pendant la pandémie de Covid-19, débuté il y a cinq ans. Une période qui a selon lui "révélé la force de notre unité". Dans un long message publié sur le réseau social X, le chef de l'Etat a salué le "courage" des Français concernés par le premier confinement, qui a débuté le 17 mars 2020. "La France s'est confinée. Mais jamais elle ne s'est arrêtée. Face à l'inconnu, face à l'épreuve, elle s'est unie", a écrit Emmanuel Macron. "Nous avons pris soin les uns des autres. Nous avons fait preuve de solidarité dans les moments les plus durs, de résilience quand tout semblait vaciller", a-t-il ajouté.

Emmanuel Macron a remercié les soignants qui "n'ont pas compté leurs heures", ou encore les enseignants qui "ont continué à transmettre le savoir" au fil des confinements. "Tandis que des millions de Français ont dû stopper leur activité, les éboueurs, agents d’entretien et postiers, nos forces de l’ordre, nos pompiers et nos militaires, ont assuré l’essentiel. Les chercheurs ont avancé sans relâche pour comprendre et lutter. Tous ont tenu le pays debout", a développé le président. "Comme ont tenu le pays debout ceux qui se sont engagés pour fabriquer des masques et, le jour venu, pour vacciner, vacciner, vacciner."

Le chef de l'Etat s'est ému des "drames humains", des "douleurs silencieuses" et des "déchirements tus", adressant aussi un mot pour "notre jeunesse qui a souvent souffert de la solitude et a accepté de sacrifier des mois parmi les plus beaux pour protéger les plus vulnérables".

Commentaires

Connectez-vous ou créez votre espace franceinfo pour commenter.