Pour protéger Hollande, l'équipe de policiers passe de 2 à 14 fonctionnaires
L'équipe chargée de la sécurité de François Hollande est passée, jeudi 2 février, de deux à quatorze policiers, dirigés par une commandante. Un renforcement qui avait été décidé avant le jet de farine subi par le candidat socialiste, mercredi.
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L'équipe chargée de la sécurité de François Hollande est passée, jeudi 2 février, de deux à quatorze policiers, dirigés par une commandante. Un renforcement qui avait été décidé avant le jet de farine subi par le candidat socialiste, mercredi.
Confirmant des informations du Monde.fr, le préfet Nacer Meddah, secrétaire général de la campagne de François Hollande, a indiqué jeudi 2 février à l'AFP qu'il avait été décidé, dès la fin décembre, de compléter le dispositif policiers autour du candidat socialiste, avec 14 experts, dont deux capitaines, sous l'autorité d'une commandante.
M. Hollande n'avait jusqu'à présent que deux policiers pour le protéger.
Télescopage de calendrier
Par un télescopage de calendrier, les renforts ne devaient prendre leur service qu'à partir de ce jeudi. La veille, ils étaient venus au QG parisien pour se faire connaître et rencontrer l'équipe, "visite de courtoisie", a dit M. Meddah.
Le jour-même, donc, où le député de Corrèze était "enfariné" par une femme de 45 ans que sa sécurité n'avait pu contenir, lors d'une manifestation organisée par la Fondation Abbé Pierre au Parc des expositions à Paris. Placée en garde à vue, cette "mal logée" a été admise mercredi soir à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris
C'est Daniel Vaillant, ancien ministre de l'intérieur, qui a négocié ce renforcement avec la place Beauvau, a précisé le préfet.
"Les risques du métier"
Les fonctionnaires appartiennent au Service de protection des hautes personnalités (SPHP). Leur nombre permettra la présence en permanence et par roulement de trois policiers auprès de M. Hollande.
Une réunion est prévue ce jour au QG pour tirer tous les enseignements de l'incident de mercredi, a encore dit M. Meddah. Ce sont "les risques du métier", avait commenté M. Hollande après avoir été couvert de farine blanche.
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