Tour de France : les chutes sont-elles plus nombreuses et plus violentes ?

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Article rédigé par franceinfo - G. Naboulet, J. Lonchampt, B. Poulain, O. Gardette, M. Gualandi, Y. Kadouch - Édité par l’agence 6médias
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Sur la Grande Boucle, les coureurs vont de plus en plus vite, avec 10 % de vitesse gagnée en cinq ans. Mais les rythmes ne deviennent-ils pas trop élevés ? Les chutes sont-elles plus nombreuses et plus violentes ?

L’image a marqué le début du Tour de France 2025 : une violente chute collective à plus de 60 km/h, en descente, dans les derniers kilomètres de la 7e étape. Grosse frayeur chez les suiveurs. Certains sont contraints à l’abandon, d’autres, comme Louis Barré, s’accrochent pour franchir la ligne d’arrivée. Pas question d’abandonner, même si le Français panse encore ses plaies. Ses amis sont venus l’encourager, impressionnés par sa force de caractère.

Une équipe médicale toujours présente

Courageux mais pas inconscients pour autant. Mais pourquoi y a-t-il autant de cyclistes à terre ? Les sprints sont toujours aussi disputés, la vitesse ne fait qu’augmenter et le peloton est de plus en plus connecté. L’équipe médicale du Tour intervient chaque jour depuis le Grand Départ, au plus près des coureurs blessés. Joao Almeida, meilleur soutien de Tadej Pogacar, a abandonné dimanche 13 juillet, trop diminué par la chute de la 7e étape.

Regardez l’intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

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