Cet article date de plus de trois ans.

Attentat de Nice, les enfants du 14-Juillet : la vie d’après (3/5)

Attentat de Nice : les enfants du 14 juillet

Le procès de l’attentat de Nice, qui a fait 86 morts le 14 juillet 2016, s’ouvre. Ceux dont la vie a été bouleversée par ce drame se confient à franceinfo. Ils racontent la vie d’après, du stress post-traumatique vécu par certains, au deuil si difficile après un attentat.

franceinfo

Radio France

Publié le 31/08/2022 06:12 Mis à jour le 01/09/2022 18:57

Temps de lecture : 1min

Quatre jours après l'attentat du 14-Juillet à Nice, la promenade des Anglais, la carte postale niçoise, est devenue la promenade du deuil. Le choc et la douleur ont figé Nice. Juste après le feu d'artifice, un terroriste fonce sur la Promenade des Anglais. Aux commandes d'un camion frigorifique blanc de 19 tonnes, il tue 86 personnes, en blesse plus de 200, et traumatise toute une ville.

>> Attentat de Nice du 14-Juillet : six ans après, les enfants du 14-Juillet travaillent à "vivre leur petite vie d'enfants"

Cette nuit-là, 89 enfants ont perdu un proche. Dans ce troisième épisode, David Di Giacomo, chef du service police justice, s'intéresse à la vie d'après, suivant des enseignantes qui ont eu une rentrée de septembre 2016 très délicate à Nice, avec beaucoup d'enfants traumatisés.

Et puis, comment se relever d'un tel drame ? À travers le témoignage de deux mamans qui ont perdu l'un de leurs enfants, cet épisode raconte le deuil si difficile après un attentat, mais aussi le stress post-traumatique vécu par les victimes.

"Attentat de Nice, les enfants du 14-Juillet", un podcast franceinfo de David Di Giacomo, à retrouver sur le site de franceinfo, l'application Radio France et plusieurs autres plateformes comme Apple podcasts, Podcast Addict, Spotify, ou Deezer.

Réalisation : Cécile Laffon

Prise de son : Ollivia Branger, Alexandre Abergel, Remy Martinez et Ivan Turk

Mixage : Eric Boisset

Création sonore : Bruno Carpentier, Hervé Bouley

Rédaction en chef : Marina Cabiten

Merci à Delphine Gotchaux, Nicolas Merou, France Bleu Azur et au service police-justice de franceinfo. Et un grand merci à toutes celles et ceux qui ont accepté d'apporter leurs témoignages.