La génération Z prend de la distance avec le travail
Les 15-24 ans commencent à arriver dans le monde du travail aujourd'hui. Comment voient-ils le travail ?
On y voit plus clair sur les attentes de la génération Z avec la publication mardi 29 janvier, d'une étude qui leur est consacrée. Le cabinet Mazars a interrogé plus de 1 000 jeunes de 15 à 24 ans. Et il en ressort des différences nettes avec les "vieux" de la génération Y, qui ont aujourd'hui entre 25 et 34 ans, et qui sont déjà bien intégrés dans le monde du travail.
Première différence, les plus jeunes, les Z, semblent moins attachés au sacro-saint CDI à temps plein. Avoir un contrat à durée indéterminée est encore réclamé à près de 80% par les 15-24, mais c'est sept points de moins qu'au sein de la génération précédente. Les plus jeunes se voient beaucoup plus facilement que leurs ainés cumuler une activité principale et une activité secondaire. Ils s'imaginent aussi plus facilement être freelance, à 55%, c'est à dire spet points de plus que la génération Y. Un tiers des 15-24 disent qu'ils aimeraient cumuler trois emplois ou plus en tant qu'indépendant. Il y a aussi une différence marquée chez ceux qui se voient bien travailler à temps partiel. C'est le cas d'un jeune sur deux, une différence de neuf points avec leurs aînés.
Le coworking plébiscité par les 15-24
Ils sont attirés par le statut d'indépendant et pourtant ils sont attachés au lieu de travail. Ils sont huit sur dix à attendre de l'entreprise qu'elle mette à disposition des salariés un espace physique convivial. Mais la différence par rapport à la génération précédente, c'est qu'ils sont plus que les autres attirés par les espaces de coworking.
Les trois-quarts d'entre eux veulent que l'entreprise les laisse libres d'organiser comme ils veulent leurs horaires de travail. Un sur deux veut appliquer ses propres méthodes. Les 15-24 ans une génération manifestent très fortement leur désir d'indépendance et attendent d'être traité d'égal à égal. En un mot, une génération très exigeante...
Chine: bonheur personnel et productivité
Un parc d'attractions accorde à ses employées une semaine de vacances supplémentaires, raconte Slate, pour qu'elles puissent rester un peu plus longtemps chez elles à l'occasion du Nouvel an chinois. Objectif: se trouver un mari. Pour le DRH de cette entreprise, les femmes seraient plus productives si elles sont heureuses dans leur vie privée. Une idée qui peut faire son chemin.
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