Comment bien choisir son crédit étudiant ?
Souscrire un prêt étudiant peut aider à faire face aux frais de scolarité et de vie, avec des offres bancaires allant jusqu’à 75 000 euros et des taux plus avantageux qu’un crédit à la consommation.
/2024/03/04/fanny-guinochet-65e60267ebb86457775765.png)
/2025/09/11/amphi-68c2b3f9ac8fe526915147.jpg)
En ce mois de septembre, mois de rentrée, ce n’est pas toujours facile pour les étudiants entre les frais de scolarité, le loyer d'un studio ou d'une résidence étudiante, et les autres dépenses de la vie courante. Prendre un prêt étudiant peut être une solution intéressante si vous avez plus de 18 ans et jusqu’à 27/30 ans.
Il est nécéssaire de faire jouer la concurrence. Inutile de chercher du côté des banques en ligne comme BoursoBank, Fortuneo, Hello Bank!, N26 ou Revolut, elles ne proposent pas de prêts étudiants. Tournez-vous donc vers les réseaux traditionnels, qui rivalisent d’offres, car un crédit étudiant permet d’acquérir une nouvelle clientèle. Les taux sont plus attractifs que pour un prêt à la consommation. Ils s’étalent de 0,80 % à 5%, selon l’étude du comparateur Selectra.
En général, les banques prêtent entre 50 000 et 75 000 euros. Souvent, elles demandent une caution, généralement un parent, qui s’engage à régler les mensualités à la place de l’étudiant si nécessaire. Si vous n'avez pas de garants, plusieurs options existent. Banque Populaire et Caisse d’Épargne ont lancé un prêt étudiant sans caution personnelle ni conditions de ressources. Il existe aussi un prêt étudiant garanti par l’État. Le Montant maximum emprunté est de 20 000 euros. Il existe une plateforme dédiée très pratique.
Aménager les remboursements
Le plus souvent, vous disposez de 10 à 12 ans pour rembourser. Vous pouvez commencer à le faire à la fin de vos études, ou bien un peu plus tard, le temps de trouver votre premier emploi. Ce différé de remboursement peut s’étaler sur une période de 5 à 10 ans. À vous de le prévoir en amont.
Au moment de la négociation, pensez à tout examiner. Le taux d’intérêt, mais aussi les frais annexes et les possibilités d’aménager vos remboursements. Il est également conseillé de demander un décaissement fractionné de la somme empruntée sur plusieurs années, en fonction du calendrier des frais de scolarité. Cela permet d’éviter de dépenser plus que prévu la première année ou de tenir compte d’un changement de cursus, si finalement vous n’avez plus besoin d’emprunter toute la somme.
Le décaissement fractionné permet aussi de réduire le coût total du crédit, car les intérêts sont calculés uniquement sur la somme effectivement versée et non sur la totalité.
À regarder
-
Les pièces ultra-rares du futur musée du jeu vidéo
-
Compléments, vitamines sont-ils vraiment utiles ?
-
Serruriers Ils dénoncent leurs collègues arnaqueurs
-
Attentat de la rue des Rosiers : un suspect arrêté 43 ans après
-
Un café Friends à Times square
-
Drones : des manifestants sous surveillance
-
Picasso : le chef d'œuvre retrouvé
-
Plongée dans la ligne 1, la plus ancienne du métro de Paris
-
Boire de l'alcool, c'est à cause des singes ?
-
Reconnaissance de l'Etat de Palestine à l'Onu : "Nous méritons de vivre comme tout le monde"
-
Des physiciens américains battent le record de l’horloge la plus précise du monde
-
Un homme armé d'une machette a été abattu près d'un établissement scolaire à la Seyne-sur-Mer
-
Il retrouve la vue grâce à une dent
-
Paul Dena s'explique sur son patriotisme
-
Cinq fruits et légumes par jour : comment ça marche ?
-
"La reconnaissance d'un État palestinien est le meilleur moyen d'isoler le Hamas", avance Emmanuel Macron
-
Le drapeau palestinien sur ta mairie ce lundi ?
-
Les tours de Notre-Dame sont à nouveau ouvertes au public
-
Albanie : la ministre est une intelligence artificielle
-
"Casse toi !", Les policiers ont le droit de faire ça ?
-
Voyage organisé : 300 familles victimes d'une arnaque ?
-
Télévision américaine : Donald Trump zappe les humoristes
-
Grève : jour de colères
-
Violences conjugales, aux côtés des policiers spécialisés
-
Un pipi à 260 000 euros
-
Paul Dena : “J’ai dû quitter ma famille pour le MMA”
-
Les Talibans autorisent la chirurgie esthétique aux Afghanes
-
Etudiants américains : les universités britanniques affichent complet
-
Sophie Binet, première femme à la tête de la CGT, est-elle traitée comme ses prédécesseurs ?
-
Pourquoi la collab Pimkie/Shein inquiète
Lancez la conversation
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.