La grande et la petite chanson d'Avignon

Dernière chronique de la saison... et entrée dans l'été : le 79e festival d'Avignon a commencé hier, avec tout le prestige d'une légende inégalée.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Les rues d'Avignon sont aussi un festival, en marge des spectacles du "In" et du "Off" (ICI EN 2024). (CHRISTOPHE AGOSTINIS / MAXPPP)
Les rues d'Avignon sont aussi un festival, en marge des spectacles du "In" et du "Off" (ICI EN 2024). (CHRISTOPHE AGOSTINIS / MAXPPP)

Les fameuses trompettes de Lorrenzaccio, commandées par Gérard Philipe en personne au compositeur Maurice Jarre et qui, depuis 1958, résonnent avant chaque représentation dans la cour d’honneur du palais des Papes. C’est la signature sonore du festival d’Avignon et c’est parfois, aussi, tout ce que les festivaliers connaissent du "In".

Car en juillet, il y a deux Avignons. Celui des passionnés de théâtre qui sont là pour une, deux ou dix soirées et qui se délectent des spectacles programmés par le plus prestigieux des festivals ou picorent parmi les 1.500 spectacles du "Off". Et puis il y a le festival des rues et des soirées interminables, des bouteilles partagées sur le trottoir, des rencontres sac au dos entre aventuriers du hasard et de la liberté.

Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

Maurice Jarre, Fanfare de Lorenzaccio, 1953

Renaud, L'Autostoppeuse, 1980

Joe Dassin, Les plus belles années de ma vie, 1973

Michel Buhler, Avignon, 2012

Frédéric Fromet, Juillet à Avignon, 2015

Vincent Delerm, Le Monologue Shakespearien, 2002

Gérard Philipe dans, Lorenzaccio, 1952

Jean-Pierre Bourtayre, Un prince en Avignon, 1970

Vincent Delerm, Le Monologue Shakespearien, 2002

 

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