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Le brief politique. Jean-Louis Borloo se rapproche des "constructifs" du parti Les Républicains

Le brief politique Anne-Laure Dagnet Le samedi à 7h46, 11h48, 13h15, 15h15

L’ancien ministre de Nicolas Sarkozy fait partie des invités quand les "constructifs", ces Républicains qui tendent la main à Emmanuel Macron, organisent un dîner.

franceinfo, Anne-Laure Dagnet

Radio France

Publié le 16/06/2017 10:04

Temps de lecture : 1min

Jean-Louis Borloo, ancien ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy et fondateur de l'UDI, se place du côté des Républicains qui tendent la main à Emmanuel Macron.  (ERIC FEFERBERG / AFP) — Jean-Louis Borloo, ancien ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy et fondateur de l'UDI, se place du côté des Républicains qui tendent la main à Emmanuel Macron. (ERIC FEFERBERG / AFP)

Des élus du parti Les Républicain (LR) qui tendent la main à Emmanuel Macron se sont surnommés les "constructifs" et ils préparent la suite : un groupe à l’Assemblée nationale, peut-être un nouveau parti. Jean-Louis Borloo est présent quand ils font leurs plans sur la comète autour d’un bon repas, par exemple chez Thierry Solère, l’organisateur de la primaire de la droite et du centre, ou à Matignon chez le Premier ministre Edouard Philippe. L'ancien ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy soutient aussi Emmanuel Macron. Il a même proposé au Président de lui donner un coup de main pendant quelques années.

Jean-Louis Borloo se rapproche des "constructifs" (élus LR qui souhaitent que la droite soutienne «les bonnes réformes» du gouvernement) pic.twitter.com/7u3ArDnyqB
— franceinfo (@franceinfo) 16 juin 2017

À suivre aujourd’hui

Le Premier ministre dans le Doubs pour soutenir les candidats de La République en marche pour les législatives.

Après l’agression dont a été victime Nathalie Kosciusco-Morizet, en campagne, hier à Paris, un rassemblement de soutien est prévu en fin d’après-midi, à l’initiative d’une trentaine d’élus Les Républicains.

La note du brief

Un 19/20 pour les jeunes qui se prennent en main pour être mieux représentés et défendus. Plusieurs responsables de mouvements dont l’UNEF, organisation étudiante, ont signé une tribune adressée à Emmanuel Macron pour qu’il nomme quelqu’un qui les représente au gouvernement, après les législatives. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Les jeunes redoutent d’être les grands oubliés du quinquennat. Un comble quand le locataire de l’Elysée est le plus jeune Président de la Ve République.