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L'arrivée du TGV au Maroc ne fait pas l'unanimité

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Lancé au mois de septembre 2011, le chantier du TGV au Maroc suscite une levée de boucliers de la part de certains opposants qui lui reprochent son coût beaucoup trop élevé pour un pays comme le Maroc.

franceinfo

Radio France

Publié le 25/05/2012 14:39 Mis à jour le 09/05/2014 21:41

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Quand elle sera achevée, cette ligne de TGV reliera Casablanca à Tanger en un peu plus de deux heures. Mais le prix à payer, plus de deux milliards d'euros, est beaucoup trop élevé estiment les opposants au projet.

Ces opposants se sont réunis au sein de l'association "Stop TGV", ils réclament l'arrêt immédiat du chantier. Pour étayer leurs arguments, ils ont fait un rapide calcul : Rapporté au P.I.B Marocain, la ligne TGV équivaudrait en France à un investissement de 58 milliards d'euros.

Dans un pays alphabétisé à un peu plus de 50%, ces mêmes opposants se réjouiraient plutôt de voir des écoles sortir de terre, ou encore des centres de santé.

En Afghanistan , le retrait des troupes Françaises sera ordonné et coordonné avec nos alliés de l'OTAN. C'est ce qu'a déclaré François Hollande ce matin après une visite éclair dans le pays. Le chef de l'Etat justifie cette décision par le recul de la menace terroriste sur le sol Afghan.

Gaza

Alors que les premiers résultats de l'élection présidentielle égyptienne seront connus ce week-end, Le scrutin est très suivi dans toute la région. En Israel mais aussi dans la bande de Gaza dirigée par le Hamas depuis 2007.

Le mouvement de la résistance islamique espère un changement radical après l'élection en Egypte . La population gazaouie elle, semble ne pas se faire beaucoup d'illusions.

Au Québec ,

Depuis trois mois, la jeunesse québécoise est mobilisée contre la hausse de 82% sur 7 ans des frais de scolarité. Mais le mouvement s'étend depuis une semaine à toute la population.

Depuis qu'une loi spéciale, la loi 78, a été adoptée vendredi dernier : elle restreint le droit de manifester.

Plus de 2 000 interpellations depuis samedi et une contestation qui ne s'essoufle pas.