Institutrice jugée pour violence : "Souvent, la parole n'est pas écoutée", estime le porte-parole d'une fédération de parents d'élèves

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Article rédigé par franceinfo
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Une enseignante est jugée à partir de ce vendredi 21 février, accusée d'avoir brutalisé une petite fille de 3 ans dans sa classe de maternelle en septembre 2024. Laurent Zameczkowski, porte-parole de la Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP), est l'invité du "11/13".

Jugée vendredi 21 février pour des violences contre une petite fille de 3 ans dans une école maternelle en septembre, une institutrice de 52 ans comparaît devant la justice. "On ne pouvait pas laisser une situation comme ça perdurer, aussi bien d'ailleurs pour l'enfant que pour l'enseignante", reconnaît Laurent Zameczkowski, porte-parole de la Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP), invité du "11/13" de franceinfo.

"L'accompagnement des enseignants est déficient"

Les parents avaient lancé l'alerte en diffusant sur les réseaux sociaux une vidéo montrant les violences commises par l'enseignante. "Souvent, la parole n'est pas écoutée, donc les parents ont trouvé ce moyen pour se faire entendre", souligne Laurent Zameczkowski, qui estime que "c'est dommage qu'on en arrive à devoir utiliser ce genre de moyens". Selon lui, ce drame "pose une vraie question sur l'accompagnement qu'il y a aujourd'hui des enseignants, qui est malheureusement déficient".

Regardez l'intégralité de l'interview dans la vidéo ci-dessus.

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