Formule 1 : Cadillac officiellement confirmée comme onzième écurie sur la grille en 2026

Depuis le départ de Manor fin 2016, le championnat du monde de F1 est disputé par dix écuries, auxquelles se joindra Cadillac en 2026.

franceinfo: sport avec AFP

France Télévisions - Rédaction Sport

Publié le 07/03/2025 17:45

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Les monoplaces au départ du Grand Prix d'Abou Dhabi, le 8 décembre 2024. (XAVI BONILLA / AFP)

Après l'accord de principe obtenu en novembre 2024 par Cadillac, la Formule 1 et la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA) ont annoncé officiellement l'arrivée du géant automobile américain sur la grille du championnat du monde, vendredi 3 mars. "Après la fin de leurs évaluations sportives, techniques et commerciales, la demande de General Motors et de TWG Motorsports d'amener une équipe Cadillac au championnat du monde de F1 à partir de 2026 a été approuvée", ont écrit les instances dans un communiqué.

BREAKING: Cadillac confirmed as 11th team on the 2026 F1 grid#F1 pic.twitter.com/V5eoWfQCYX
— Formula 1 (@F1) March 7, 2025

Ce sont donc 22 monoplaces qui occuperont la grille à partir de 2026, comme ce fut le cas en 2013, 2014 et 2016. La F1 avait même compté jusqu'à douze équipes et 24 voitures de 2010 à 2012. Depuis le départ de Manor fin 2016, les dirigeants étaient assez réticents à l'idée d'intégrer une onzième équipe. Mais l'implication de General Motors dans le projet porté par Michael Andretti, fils du champion du monde de F1 1978 Mario Andretti (84 ans), a changé la donne, d'autant que le constructeur américain deviendra motoriste à partir de 2028. D'ici 2028, les monoplaces Cadillac seront motorisées par Ferrari.

"Vingt voitures en F1, ce n'est pas assez. Beaucoup d'autres disciplines comptent 28 ou 30 voitures. Cela fait beaucoup d'équipes et de personnel, mais pour le sport et pour nous, c'est super", s'enthousiasmait le pilote français Esteban Ocon en novembre au moment de l'accord de principe. "C'est excitant, plus de voitures veut dire plus d'adversaires et plus d'action sur la piste, donc c'est bien", jugeait son coéquipier de l'époque, Pierre Gasly.