Bastia : 11 hommes interpellés et placés en garde à vue après les échauffourées entre le SC Bastia et l'OL
Dans le cadre de l'enquête sur les incidents qui ont éclatés pendant le match de football Bastia-Lyon, le 16 avril dernier, 11 hommes ont été interpellés et placés en garde à vue à Bastia.
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Onze hommes ont été interpellés et placés en garde à vue à Bastia mercredi 3 mai dans le cadre de l'enquête sur les incidents qui ont émaillé la rencontre entre le SC Bastia et l'Olympique lyonnais le 16 avril dernier selon le parquet.
Il s’agit de la deuxième série d’interpellation dans cette affaire. Le 25 avril, cinq hommes avaient été interpellés et devaient passer en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bastia, mais le procès a été renvoyé au 15 mai.
Le stade de Furiani suspendu
Les échauffourées avaient éclaté le 16 avril, avant le coup d'envoi du match Bastia-OL lors de la 33e journée de Ligue 1. Une cinquantaine de supporters corses avaient pénétré sur la pelouse pour s'en prendre physiquement aux joueurs lyonnais alors qu'ils étaient en train de s'entraîner. La rencontre avait démarré avec une heure de retard, puis avait été officiellement stoppée après de nouveaux incidents survenus à la mi-temps.
En attendant la décision finale de la Ligue de football professionnel qui doit être rendue jeudi, le stade de Furiani a été suspendu à titre conservatoire et l'équipe a dû disputer son match face à Rennes, à huis clos, samedi, à Fos-sur-Mer.
Parmi la première vague d'interpellations, le 25 avril, figurait le directeur des services généraux du club corse, Anthony Agostini. Il est accusé par le président de l'Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, d'avoir frappé son gardien Anthony Lopes. Anthony Agostini a été placé sous contrôle judiciaire et interdit de pelouse sur les stades qui accueillent des matches du SC Bastia. Un supporteur du club et un stadier ont aussi été placés sous contrôle judiciaire et interdits de stade, et deux autres supporteurs ont été placés en détention provisoire dans l'attente de l'audience en raison d'"un risque de récidive" précise France 3 ViaStella.
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