Mobilisation du 18 septembre, reconnaissance de la Palestine à l'ONU... Le 8h30 de Sylvain Maillard

8h30 franceinfo Agathe Lambret et Paul Larrouturou Du lundi au dimanche à 8h33

Sylvain Maillard, député et président de Renaissance à Paris, était l’invité du "8h30 franceinfo", vendredi 19 septembre 2025.

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Publié le 19/09/2025 12:18

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Sylvain Maillard, député et président de Renaissance à Paris, était l’invité du "8h30 franceinfo", vendredi 19 septembre 2025 (FRANCEINFO/RADIOFRANCE)

Sylvain Maillard, député et président de Renaissance à Paris, était l’invité du "8h30 franceinfo", vendredi 19 septembre 2025. Mobilisation du 18 septembre, reconnaissance de l'État de Palestine. Il répondait aux questions de Camille Vigogne Le Coat et Hadrien Bect.

Mobilisation du 18 septembre : "Nous avons trop de charges et de cotisations"

"Ce que j’entends prioritairement, c’est que le travail ne paie pas assez en France", commente vendredi sur franceinfo Sylvain Maillard, député Renaissance de Paris, au lendemain de la mobilisation du 18 septembre qui a rassemblé entre "500 000" et "plus d'un million" de personnes à l'appel des syndicats. Selon lui, "nous avons trop de charges et de cotisations". "Il n'y a pas assez d'écarts entre ceux qui travaillent et ceux qui ne travaillent pas."

Reconnaissance de la Palestine à l'ONU : "Je n'y suis pas favorable à l'heure actuelle"

"Je ne suis pas favorable à l'heure actuelle" à la reconnaissance de l'État de Palestine, déclare vendredi 19 septembre Sylvain Maillard, député Renaissance de Paris et président de Renaissance à Paris, alors que plusieurs pays dont la France s'apprêtent à reconnaître l'État palestinien, dans trois jours, lors de l'Assemblée générale de l'ONU à New York. Selon Sylvain Maillard, également vice-président du groupe d'amitié France-Israël à l'Assemblée nationale, "les conditions ne sont pas remplies".

Il assure par ailleurs que le président Emmanuel Macron "ne va pas uniquement" prendre la parole lundi pour annoncer une reconnaissance de la Palestine "de façon sèche", mais qu'"avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane", ils vont faire des propositions "fortes" pour "un plan plus structurant pour la région", sans donner plus de précisions.