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Sans-papiers arnaqués, délit de rave-party et donneur de sang tatoué : ça dit quoi ce 2 septembre ?

Ce mardi 2 septembre, les arnaques visant les sans-papiers qui tentent de régulariser leur situation se multiplient, Bruno Retailleau veut punir les organisateurs de rave-parties et les personnes tatouées peuvent donner leur sang plus rapidement.

Article rédigé par Sarah Calamand
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Une carte de séjour et un courrier de Pôle emploi (image d'illustration). (STEPHANE FERRER / HANS LUCAS)
Une carte de séjour et un courrier de Pôle emploi (image d'illustration). (STEPHANE FERRER / HANS LUCAS)

"Salut, c'est Sarah, ça dit quoi ?"

Ce mardi 2 septembre, les arnaques qui visent les personnes sans-papiers se multiplient, notamment depuis la dématérialisation des démarches. Des entreprises proposent de les aider à monter des dossiers complets, mais une fois payées elles ne donnent plus de réponses. 

Bruno Retailleau veut faire de l'organisation de rave-party un délit, plutôt qu'une contravention. Le ministre de l'Intérieur réagit à celle qui a duré trois jours dans l'Aude, sur un terrain brûlé par l'incendie massif qu'a connu le département au mois d'août. 

Attendre deux mois, au lieu de quatre, est désormais suffisant pour donner son sang lorsqu’on est tatoué ou percé. Le risque de contamination à l'hépatite C s'est réduit avec l'amélioration du matériel dans les salons et les dépistages réalisés sur le sang prélevé sont plus rapides. 

"Ça dit quoi ?", un podcast à écouter du lundi au vendredi à partir de 8h30 sur franceinfo.fr, sur la chaîne WhatsApp de franceinfo, sur TikTok ou sur toutes les plateformes de podcast :

Une envie particulière, une actu te questionne ou t'a fait réagir ? Présente-toi et envoie un vocal à "Ça dit quoi" pour participer à un prochain épisode : "Salut Léo, salut Sarah !"

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