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"Notre ADN, c'est l'employabilité", souligne Vanessa Diriart, PDG France de Galileo

L'invité éco Isabelle Raymond Le vendredi à 17h46 et 22h46

A l'heure de la rentrée étudiante, Vanessa Diriart, PDG France de Galileo, leader de l'enseignement privé supérieur, détaille les enjeux de cette année, marquée par des étudiants en quête de sens qu'il faut accompagner vers le monde professionnel.

franceinfo, Isabelle Raymond

Radio France

Publié le 19/09/2022 22:13 Mis à jour le 19/09/2022 22:13

Temps de lecture : 1min

Vanessa Diriart, PDG France de Galileo, sur franceinfo dans l'invité éco du 19 septembre 2022. (CAPTURE ECRAN / FRANCEINFO)

Galileo France regroupe à la fois l'école d'art Penninghen, le cours Florent et les écoles de commerce ESG dans plusieurs villes de province. Pour Vanessa Diriart, PDG France, les étudiants s'interrogent sur le sens de leurs études. "Ils sont en quête de sens sur tout ce qui est responsabilité sociétale. On a adapté nos programmes, développé des filières. L'ensemble de nos étudiants en quatrième et cinquième année ont des programmes de cours aussi bien liés à la RSE qu'à la transition écologique", développe Vanessa Diriart. "Dans ces formations, poursuit le PDG France de Galileo, "on accompagne les étudiants avec des problématiques d'entreprise. Notre ADN, c'est l'employabilité."

Les entreprises sont partie prenantes de l'élaboration pédagogique"

Vanessa Diriat, PDG France de Galileo
franceinfo

"87% de nos étudiants à 6 mois sont en emploi stable", souligne Vanessa Diriart. Selon elle, l'enseignement supérieur doit répondre à un double objectif : correspondre aux aspirations des étudiants tout en étant compatible aux besoins de recrutement des entreprises.

Vanessa Diriat n'est pas favorable à la modulation des aides à l'apprentissage en fonction du niveau de diplôme, une des pistes d'économies envisagées pas le ministère du Travail. "On est favorable à la modulation des aides en fonction des secteurs qui emploient", répond la PDG France de Galileo. "L'apprentissage permet d'ouvrir l'enseignement supérieur à davantage de jeunes", conclut-elle.