Guerre en Ukraine : Donald Trump dit ne pas vouloir d'une "rencontre pour rien" avec Vladimir Poutine, la Russie assure que les préparatifs "se poursuivent"
Les deux dirigeants envisageaient de se réunir prochainement à Budapest, en Hongrie, pour évoquer la fin du conflit.
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"Je ne veux pas de perte de temps." Donald Trump a expliqué, mardi 21 octobre, le report sine die de sa rencontre avec Vladimir Poutine, alors que les deux dirigeants envisageaient de se réunir prochainement à Budapest, en Hongrie, pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine. Interrogé par la presse à la Maison Blanche, le président américain a déclaré ne pas vouloir d'une "rencontre pour rien" avec son homologue russe. "Donc on verra ce qu'il va se passer", a-t-il ajouté, sans donner plus de détails.
La Russie a de son côté assuré que les préparatifs en vue de cette rencontre étaient en cours. "Nous affirmons que les préparatifs du sommet se poursuivent", a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, cité par l'agence de presse étatique Tass, ajoutant ne voir aucun "obstacle majeur" à cette entrevue mais reconnaissant un "processus difficile". Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a, lui, répété que "les délais n'ont pas été fixés". "Tout cela est à venir, mais cela nécessite une préparation minutieuse", a-t-il déclaré lors d'un point presse.
Pas de missiles Tomahawk pour Kiev
De leur côté, le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio, et le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, ont annulé une réunion prévue pour organiser la rencontre de Budapest, dont ils avaient pourtant parlé la veille au téléphone.
Le président américain a montré une frustration croissante envers son homologue russe au cours des derniers mois, malgré ce qu'il décrit comme une bonne entente personnelle entre eux. Après avoir rencontré Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche vendredi, au lendemain d'un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine, le président américain semblait être revenu du côté de Moscou.
Le dirigeant ukrainien espérait tirer parti de la frustration croissante du président américain face à la réticence de son homologue russe à accepter un cessez-le-feu. Mais il est reparti les mains vides après que Donald Trump a rejeté sa demande de missiles de longue portée Tomahawk et l'a incité à conclure un accord.
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